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Le numérique a-t-il vocation à être une catastrophe écologique ?

Laurence Allard enseignante chercheuse à l'université de Lille, co-fondatrice de l'association "Labo Citoyen", experte à l'ANSES sur les micro-capteurs et la qualité de l'air. 
Eric Vidalenc économiste à l'Ademe, auteur de "Pour une écologie numérique" éditions les Petits Matins
Alain Pagano, responsable national à l'écologie au PCF et enseignant chercheur à l'Université d'Angers en écologie animale.

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Dans le cadre du capitalisme mondialisé, comme nombre de technologies et d’activités humaines, le numérique génère une empreinte écologique importante. Déjà en 2019, si le numérique avait été un pays il aurait été le 5e plus gros émetteur de CO2 du monde, et cette empreinte carbone devrait doubler d’ici 2025. La dématérialisation, le zéro papier, les vidéo-conférences, les jeux vidéos en ligne, le streaming, les spams, la blockchain et les crypto- monnaies… sont loin d’être écologiquement neutres. Avec l’obsolescence programmée, le numérique est un gros consommateur de terres rares et d’autres matières premières tout en produisant beaucoup de déchets toxiques. Mais dans le cadre d’un autre mode de production, le numérique pourrait permettre de produire mieux pour répondre aux besoins humains en consommant moins de matières, moins d’énergie, dans des circuits courts et circulaires, et avec des unités de fabrication distribuée en réseau. Débattons-en avec :

 

 

 

QUAND

Lundi 18 Jan. 2021 à 18:00

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